Arielle, ta vision du journalisme est idyllique.
Longtemps, j'ai cru qu'il devrait en être ainsi : que l'on aime ou pas, rechercher la vérité et ne pas imposer sa propre vision.
Que ce soit dans les journaux dits sérieux ou people, je constate la même dérive.
A la différence que les sérieux se cassent la gueule et que les people se font un max de blé.
Pourquoi s'arrêteraient-ils ?
Et quels sont ces gens qui achètent et dont aucun ne reconnaît le faire ? Ils sont pourtant des millions.
* J'avoue : j'achète parfois ces merdouilles quand je prends le train et je le prends souvent en ce moment
Ni Dieu ni Maître