J’attendais cette soirée depuis longtemps (1 an !) car c’était ma première date de la tournée en salle ! Les places n’étant pas numérotées, je suis arrivée assez tôt, vers 18 h 45. Il y avait déjà une longue queue. Heureusement l’ouverture des portes ne s’est pas fait trop attendre et à 19 h 30 nous avons pu entrer. Au final, j'ai pu m'asseoir au 6ème rang au centre. Plusieurs personnes avaient réservé des places à leurs amis, donc j'ai eu de la chance d’être bien placée.
Il y avait beaucoup d’ambiance dès le début de la soirée ; beaucoup de personnes frappant dans les mains et scandant « Nolwenn » pendant l’attente devant le défilé de méduses. Autour de moi, les gens étaient très réceptifs.
Très belle introduction du spectacle à travers le rideau, la belle silhouette de Nolwenn apparaissant sur Davy Jones dans un halo de lumière (Je ne l’avais vu qu’en photo).
La première partie du concert fut plus calme car les chansons invitaient plus à l’écoute. Mais le public a apprécié et a terminé avec Nolwenn « A la vie, à la mort » en sifflotant. Très beau moment ! (Moi j’ai tenté mais en vain. Pas douée !). Mention spéciale pour « Scarborough fair » version trompette avec Fred. Brest .
Pour la seconde partie, Nolwenn nous a proposé de nous rapprocher et de danser. Et là ce fut la course ! Les gens se sont précipités devant, moi aussi . On a dansé la gigue. J’ai vu 3 ou 4 personnes à côté de moi qui se tenaient le petit doigt. Je me suis joint à elles. Puis j’ai cherché un ou une volontaire pour mon deuxième petit doigt et après quelques réticences, les gens étant plus occupés à photographier, une jeune fille s’est enfin prise au jeu et m’a lancé un large sourire. Soudain, j’ai aperçu Réré et Norka sur ma droite et je me suis rapprochée d’elles pour les saluer . L’ambiance était au summum. On a chanté sur « Suite sudarmoricaine, Tri martolod, la jument de Michao, le 6ème continent ... »
Puis ce fut le rappel. Nolwenn et Fred se sont installés et ont entamé « Ohio » puis l’équipe les a rejoints. Le public a écouté cette magnifique chanson, ce moment de communion entre Nolwenn et ses musiciens. C’était la première fois que j’entendais le morceau, hors vidéo. A la fin du concert, Nolwenn semblait souffrante mais elle prendra malgré tout le temps de s’attarder pour toucher quelques mains tendues dont la mienne.
En sortant de la salle, j’ai entendu de bons commentaires. « C’est une fille simple ; elle a une belle voix ; c’était un beau spectacle… »
En attendant la prochaine date pour 2015…