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Enregistré le 27/11/2005
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Présentation aujourd'hui par Michel Drucker le film d'Arcady, un film que j'ai vraiment envie de voir.



Ce que le jour doit à la nuit
d'après le best seller de Hasmina Khadra

film qui concerne l'Algérie, ce film est tentant par ce qu'il raconte.
Etaient invités : les artistes du film mais aussi celui qui a fait la musique de ce film = Armand Amar, la musique est superbe (mélange d'oriental et d'occidental) avec un bodhran d'ailleurs et plein de violons. Celle qui dirige cet orchestre est une femme juive marocaine qui s'appelleSahia Zigiouarni , elle a d'ailleurs ouvert une classe à Stains pour faire connaître aux enfants la musique classique. Elle est franco/algérienne , a commencé à diriger à 20 ans , c'est évidemment une surdouée de la musique. Il y a aussi dans ce film un contre ténor. L'orchestre s'appelle Divertimento, cette chef d'orchestre est déjà passé à la télé avec les bambins. L'intérêt c'est qu'elle fait aussi connaître la belle musique orientale.

Il va aussi y avoir de belles images d'Alger.`

Etait invité IDIR, berbère aussi , c'est un artiste que j'adore. Enrico Macias et Serge Lama étaient également là. Serge vient de subir une opération car depuis plus de 40 ans il souffre quotidiennement. Il a été admirablement réparé par un professeur à Cochin ; Il va sortir un nouvel album , il chante une magnifique chanson l'Algérie (il a été envoyé là-bas, sans qu'on lui demande en 1962) mais sa chanson parle aussi de ceux qui ont quitté leur Algérie , très émouvant ! Enrico a un lieu que j'ignorais avec Serge Lama. A la suite d'un accident le frère de Enrico , la fiancée de Serge Lama: Liliane et Serge ont eu un très grave accident. Le frère de Enrico conduisait mais était fatiguée car il s'occupait de Serge et de quelqu'un d'autre. La fiancé de Serge et le frère d'Enrico sont décédés dans l'accident, Serge grièvement blessé.

Il a été beaucoup question de l'Algérie et ce Vivement dimanche fut vraiment émouvant

Je pense que j'irai voir ce film qui sort ces jours-ci je pense.

http://www.premiere.fr/Bandes-annonces/Video/Ce-que-le-Jour-doit-a-la-Nuit-VF

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« Puis, une nuit, sans crier gare, le malheur s’abattit sur nous »
RÉSUMÉ DU LIVRE
L'itinéraire, des années 1930 à nos jours, d'un garçon algérien au destin jalonné par les tragédies. Issu d'une famille de paysans ruinés, Younes est arraché à sa mère à l'âge de 9 ans, puis confié à son oncle, notable d'Oran. Marié à une Française, l'homme rêve d'offrir une vie meilleure à ce jeune et charmant neveu. Rebaptisé Jonas, Younes intègre alors la jeunesse pied-noire de l'Algérie des années 1950. Mais la douceur de son existence sera bientôt troublée par les conflits qui agitent le pays.
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critiques & avis
LA CRITIQUE EVENE
par Emilie Vitel
Porté par le succès des ‘Sirènes de Bagdad’, Yasmina Khadra revient avec ‘Ce que le jour doit à la nuit’. Ce roman-fleuve vibrant et lumineux, sur fond de guerre d’indépendance dans l'atmosphère mystique et sévère de l’Algérie, s’impose comme la saga de la rentrée. On ne peut nier la virtuosité de la prose. Elle dit les heures, les jours, les années avec aisance et décrit avec la même éloquence des paysages d’une beauté époustouflante ou d’une sordide décrépitude. Comme un grand-père...
Lire la critique de Ce que le jour doit à la nuit
L
chroniques & anecdotes
Primé
Yasmina Khadra a obtenu le prix Roman France Televisions 2008 pour 'Ce que le jour doit à la nuit'.
l'auteur

Yasmina Khadra
Ecrivain algérien
Né à Kenadsa le 10 Janvier 1955
Au fil des années, le succès de Yasmina Khadra ne se dément pas. Derrière ce pseudonyme féminin, se cache un officier supérieur de l'armée algérienne, Mohammed Moulessehoul, qui décide un...

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Viens de voir "La guerre est déclarée" de Valérie Donzelli sélectionné dans la semaine de la critique l'année dernière à Cannes. Une vraie claque. Cette fille est tellement douée, c'est pas croyable.

On pleure, on rit, enfin plus exactement, j'ai eu les larmes aux yeux à partir de 10 minutes jusqu'à la fin, et éclaté d'un rire libérateur toutes les 10 minutes environ. (bon, j'ai pas chronométré, hein! )

Le parcours du combattant (d'où le titre) de jeunes parents face à la maladie de leur enfant. Ce n'est pas un drame, c'est presque une comédie, une fable aussi. C'est la véritable histoire de la réalisatrice et de son ancien compagnon, Jérémie Elkaïm, co-acteur principal et co-scénariste.

Ce n'est jamais impudique. Ils ont réussi à en faire un petit bijou, un vrai geste de cinéma. Bouleversant et génial.

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Bon, je mets pas les films que je vois sur canal dans le topic télévision, vu que c'est une chaîne de cinéma et que les films y sont diffusés de + en + tôt après leur exploitation en salle et DVD.

Hier soir, Polisse de Maïwenn. J'ai un peu de mal avec son cinéma. J'étais donc partagée, pas hyper chaude à l'avance.

Le film, grand prix du jury 2011 à Cannes, décrit le quotidien d'une unité de la brigade des mineurs.

Résultat, du bon, de l'excellent et du moins bon pour moi. De l'énergie, de la tendresse, du bouleversant parfois. Un réalisme qui sonne un peu faux par moment, tout de même (surtout au début; le film s'améliore au fur et à mesure). Un peu beaucoup de démonstration, aussi.

Mais finalement, à voir.

Ah, oui, grosse révélation: Joey Star.

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J"ai vu la guerre est déclaré. Sentiment mitigé sur ce film, même si, je l'ai plutôt regardé avec plaisir.

Dans ce que j'ai aimé : je ne savais pas en visionnant le film que c'était du vécu, par contre, leurs descriptions de leurs arrivées à l'hôpital, de leurs combats avec ses joies, ses peines, ses moments où on n'a pas envie d'être là, la sorte "d'exclusion sociale", la réaction des amis, leurs relations avec les médecins, les entrevu médicale très réaliste ... la scène de la crise de rire avant l'opération, etc... j'ai trouvé cela tellement vrai que je savais que c'était du vécu. C'est une réalité que j'ai connu (même si c'était ma sœur et pas mon enfant) et des scènes comme cela je les ai vécu. bref, il y a selon moi, une vraie justesse dans la plupart du film. (et quand certaines critiques, critique le côté larmoyant du film, je me dis que l'on n'a pas vu le même film, tant pour moi il n'est absolument pas larmoyant et tellement réaliste).

J'ai aimé aussi, la rupture du couple, même si, elle n'est pas abordé, je trouvais que montré que l'on ne se sortait pas indemne d'une telle "aventure" était une bonne chose. Et puis le chanson je ne peux plus dire je t'aime et les larmes m'ont foutu une claque.

Ce que j'ai moins aimé : un jeu d'acteur inégale sur l'ensemble du film. mais surtout plus globalement, la réalisation. Certains effets m'ont paru de trop ou pas réussi, la gestion de la durée du film avec un début un brin trop long et une fin un brin pas assez développé. Je trouve la scène de la soirée très réussi, par exemple, elle montre tellement en quelques minutes. A l’inverse, pas assez de scène à l'hôpital ou sur le rapport entre l'enfant et les parents qui reste totalement inexploré.
Le propos du film était axé sur leur histoire à eux finalement.

Alors certes le défi était de taille, tant il y a des choses à dire et je trouve l'ensemble plutôt réussi dans ce qu'il montre. Mais à côté de scène que je trouve brillante, il y a des choses moins réussi et des choses non abordés. Je les pense capable de réussir un chef d’œuvre vu la brillance de certaine chose et au finale, je n'ai pas trouvé que l'on était dans le chef d’œuvre.

Sinon, si quelqu'un va voir le dernier attal, je serai curieuse d'avoir son avis. J'ai l'impression que l'on est dans le film "français" que je ne vais pas aimé, par excellence. et j'aimerai me tromper.

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L'info du siècle !

http://news.fr.msn.com/m6-actualite/disney-soffre-la-guerre-des-%c3%a9toiles-et-promet-un-nouvel-%c3%a9pisode-pour-2020

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je suis allée voir Skyfall et j'ai beaucoup aimé peut être parce que le réalisateur Sam Mendes nous a rappelé que James Bond n'était pas qu'un super espion mais qu'il était humain également

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https://www.youtube.com/user/cramletram

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J'ai stars 80 la semaine dernière, j'ai passé un bon moment , c'est bien fait je trouve.

J'ai vu cette semaine : Le capital avec Gad Elmaleh , Mesguich , etc. un excellent film vraiment, cela fait du bien de voir ce genre de film, on aurait envie de tordre le coup aux investisseurs et aux banquiers.

le film est fait à partir du livre de Stéphane Osmont

http://www.canalplus.fr/c-cinema/pid3614-c-interviews-cinema.html?vid=766503


Costa-Gavras
On ne présente plus le cinéaste Costa-Gavras, grande figure du cinéma français. La carrière du réalisateur est jalonnée de films traitant souvent de sujets brûlants comme Amen (2001) sur le mutisme du Vatican à propos de l'extermination des Juifs d'Europe lors de la Seconde Guerre Mondiale. Le Capital ne fait donc pas exception à la règle, Gavras s'attaquant cette fois au monde de la finance sur fond de crise économique internationale.
Du roman au film
Le Capital est adapté du roman éponyme de Stéphane Osmont. Très cru, le livre est une dystopie sur le milieu financier et un pamphlet acerbe sur le capitalisme et ses dérives. Le titre du livre est une référence à l’œuvre de Karl Marx du même nom, comme nous l'explique l'auteur : "Le titre du roman est bien entendu une référence au texte le plus connu de Karl Marx. Dans les deux cas, on y parle de l’argent et de son accumulation, c’est à dire du "capital". Et comme l’idée est d’en montrer les périls, autant emprunter son titre à Marx. Il est simple et clair. On comprend tout de suite de quoi il est question !"
Pourquoi Gad Elmaleh ?
Costa-Gavras a répondu à cette question qu'a posé l'humoriste lui-même en lui offrant le DVD de son long métrage Missing (1982). Gavras avait tourné ce film avec Jack Lemmon, grand acteur comique, qui y jouait un rôle tragique et émouvant. Gad Elmaleh a confessé à ce sujet : "J’ai été touché par cette manière de me répondre. Je me suis alors laissé faire avec un grand bonheur. C’est plus facile entre les mains d’un "grand"."
La crise économique à la mode chez les cinéastes ?
Outre Costa-Gavras et son Capital, d'autres cinéastes se sont intéressés à la crise économique actuelle et au monde de la finance. En 2012, Johnnie To a ainsi choisi de placer l'intrigue de son film La Vie sans principe sur fond de crise économique globale en y apportant un regard sombre et froid. En 2013, Martin Scorsese sort également un film sur le milieu boursier des requins de la finance de Wall Street en adaptant le livre de Jordan Belfort, The Wolf of Wall Street.
Gad Elmaleh devient sérieux
Avant d'engager l'humoriste et comédien Gad Elmaleh, Costa-Gavras a d'abord pensé à Vincent Cassel et à Mathieu Kassovitz pour le rôle principal de son film. Il s'agit d'un rôle à contre-emploi pour Gad Elmaleh, souvent cantonné aux comédies populaires : une nouvelle occasion pour lui de montrer qu'il peut jouer des rôles plus dramatiques.
Casting international
Costa-Gavras a fait appel à un casting très hétéroclite pour Le Capital. En effet, pour donner la réplique à Gad Elmaleh, on retrouve l'acteur américain Gabriel Byrne, surtout connu pour son rôle dans Usual Suspects de Bryan Singer, la Belge Natacha Régnier (38 témoins) ou le Britannique Paul Barrett (The Queen). A noter que Gavras tourne pour la deuxième fois avec Gabriel Byrne. Leur première collaboration remonte à 1983 avec Hanna K.
Champion du monde !
Un champion du monde de football est au casting du film. Il s'agit de l'ex-footballeur international français Bixente Lizarazu.
Père et fils
Le co-scénariste du Capital, Karim Boukercha, a déjà collaboré avec un Gavras... mais pas avec Costa. En effet, Boukercha avait travaillé en 2010 avec le fils du cinéaste, Romain Gavras. L'auteur avait ainsi écrit le scénario de Notre jour viendra, notamment interprété par Vincent Cassel.
Jean-Claude Grumberg
Le nom de Jean-Claude Grumberg ne vous dit peut-être rien, mais vous avez sûrement déjà vu certains des films dont il a écrit le scénario. En effet, le scénariste a fait pleurer sa plume pour Le Dernier métro de François Truffaut, et Le Capital est sa sixième collaboration avec Costa-Gavras après La Petite Apocalypse, Mon colonel, Amen, Le Couperet et Eden à l'Ouest.
Lieux de tournage
Le Capital a été tourné entre Paris, Londres, Miami et New York.

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Enregistré le 11/10/2006
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Je vous conseille d'aller voir Populaire, film bien sympa sur les débuts (timides) de l'émancipation des femmes par leur travail dans les années 50, plus précisément, d'une secrétaire qui va se mettre à faire des concours de dactylographie avec son mentor de patron,c'est avec avec Romain Duris et Déborah François.

Enregistré le 21/12/2011
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Bonne année au cinéma, aux cinéphiles et cinéfous du forum.

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